Aller au contenu principal

Devenir infirmier·ère

Navigation principale

Bachelier pour breveté·e·s > Promotion Sociale

L’Enseignement de promotion sociale n’organise plus de section spécifique pour les infirmier·ère·s titulaires du brevet souhaitant devenir titulaires du bachelier (section anciennement appelé « passerelle ») mais intègre à présent les breveté·e·s directement dans le cursus du bachelier en leur accordant une reconnaissance automatique des capacités acquises via le système de la VAE (valorisation des acquis de l’expérience).

Concrètement, les breveté·e·s sont dispensé·e·s automatiquement de la moitié du parcours de formation (soit 10 unités d’enseignement sur les 20 programmées). La formation est ainsi réduite à 3 années d’études à raison d’un à deux jours par semaine, tout en pouvant être étalée sur une plus longue période si l’étudiant·e le souhaite.

Des dispenses supplémentaires peuvent également être accordées sur dossier individuel, selon l’expérience de chacun·e, par exemple pour une partie des heures de stage. L’épreuve relative à cette matière devra toutefois être réussie, de même que l’épreuve intégrée.

Comme toujours en promotion sociale, les cours sont organisés de façon à pouvoir continuer à travailler.

Le cursus mène au grade de « bachelier·ère infirmier·ère responsable de soins généraux » (BIRSG).

Pour en savoir plus sur le programme :

Dossier pédagogique de l'Enseignement de Promotion Sociale - Section Bachelier : infirmier responsable de soins généraux (cf. p. 5 - Reconnaissance des capacités acquises)

Conditions d’accès

Pour pouvoir bénéficier d’une valorisation automatique des acquis dans le cadre de l’Enseignement de promotion sociale (UE « passerelle »), il faut   :

  • être titulaire d'un "Brevet hospitalier" ou d'un "Brevet d'infirmier·ère hospitalier·ère" : orientation santé mentale et psychiatrie» OU

  • une décision d'équivalence d'un titre étranger à l'un des titres précités.

Pour accéder aux études infirmières, il faut par ailleurs fournir à l’établissement :

  • un certificat médical d'aptitude à suivre l'enseignement clinique ;

  • un extrait de casier judiciaire modèle 2, ou un document équivalent émanant d'une autorité étrangère.