Mobilité européenne
L’euro-mobilité est d’ores et déjà assurée à l’issue du bachelier d’infirmier·ère responsable en soins généraux. Les titulaires du bachelier pourront donc exercer l’art infirmier sur l’ensemble du territoire de l’Union Européenne.
Changer d’école ou de type d’enseignement
Dans la nouvelle organisation du cursus, il devrait être possible de passer sans problème d’une école de promotion sociale à une autre. Les écoles de promotion sociale se sont en effet accordées pour construire des unités d’enseignement communes, ce qui permet le passage d’une école à l’autre.
A contrario, chaque Haute Ecole propose des unités d’enseignement spécifiques ; il sera donc à l’avenir beaucoup moins évident de passer d’une Haute Ecole à une école de promotion sociale (et inversement), ou encore de changer de Haute Ecole. Ceci devra passer par le système de la VAE et des dispenses, en fonction du parcours de chacun·e.
Enregistrement comme aide-soignant·e
Dans l’Enseignement de promotion sociale, la réussite des 5 premières unités d’enseignement ainsi que la première unité d’enseignement clinique (stage) permet de se faire enregistrer pour pouvoir exercer le métier d’aide-soignant·e. Ce trajet est normalement effectué sur deux années d’études. Les unités concernées sont :
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Approche globale des soins de base
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Stage d’approche globale des soins de base
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Sciences biomédicales
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Approche globale des soins de publics spécifiques
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Déontologie, éthique et législation appliquée au secteur infirmier
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Relation soignant·e / soigné·e
+ stage d’approche globale des soins de base.
Dans les Hautes Ecoles, la réussite du bloc 1 permet également d’obtenir le titre d’aide-soignant·e auprès du SPF Santé Publique, à condition d’avoir presté 135 heures d’enseignement clinique (stages).